A travers leurs œuvres, Hélène Delmaire, Makiko Furuichi, Gaëlle Lucas et Yasmina Benari nous invitent à réfléchir autour des thèmes du genre féminin, de la féminité, du regard des femmes sur notre société.
Toutes issues d’univers, d’horizons et utilisant des médiums différents, le BAR rassemble ces quatre artistes et vous propose une exposition inédite où le fluide, la transparence, l’imaginaire, l’histoire, le rêve nous proposent une manière inédite de percevoir le monde.
– Deux rencontres se tiendront les dimanches 5 avril et 3 mai 2015 de 15:00 à 18:30
– Soirée de lectures performées le vendredi 27 mars à 18:30 : Il n’y a pas d’Eve – Yasmina Benari | l’entre-deux-dent – Clothilde Sourdeval
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Hélène Delmaire est une artiste lilloise de 27 ans qui a passé deux ans à l’Académie d’Art de Florence où elle a perfectionné sa technique picturale. Elle expose aujourd’hui dans la région mais aussi à l’international. Ses œuvres sont principalement des peintures et, à travers celles-ci s’expriment les thèmes récurrents tels que la nature, la nudité ou encore la fragilité.
http://www.helenedelmaire.com/
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C’est en 2008, suite à son emménagement en France que Makiko Furuichi trouve sa voie. Originaire du Japon, elle entre aux Beaux Arts de Nantes et se met à travailler majoritairement l’aquarelle. Son univers est fait de nombreux personnages, plantes ou encore flamants roses plus ou moins flous qui questionnent le corps et son appartenance à un groupe social. A chaque nouvelle peinture, c’est une explosion de couleur qui stimule notre imagination.
http://makikof.weebly.com/
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Dessin et tissu ne font qu’un dans les œuvres de Gaëlle Lucas. Originaire de Lille et ancienne étudiante de l’école supérieure des arts décoratifs de Strasbourg, elle expose aujourd’hui un peu partout en Europe et maintenant à Roubaix. Son art raconte à la fois une histoire, son histoire, à travers un double graphique ; mais capture aussi un temps unique et présent puisque chacune de ses œuvres a pour seul titre une date. Les thèmes de ses œuvres s’articulent autour de la représentation du corps mais balancent toujours entre rêve et réalité, désir et fantasme ou encore intimité et enfance.
http://www.gaellelucas.fr/
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Yasmina Benari est une jeune artiste au bagage déjà bien rempli. Récemment diplômée du Fresnoy, elle vit et travaille aujourd’hui à Lille. Son espace de création se situe à la lisière du réel et de l’imaginaire. Plasticienne de l’image, elle travaille la matière filmée et photographique comme un volume qu’elle sculpte, malmène, mélange, jusqu’à lui donner sa propre forme. Ses films et installations occupent l’espace, prennent une forme puis une autre comme autant de déclinaisons possibles. Sa dernière installation « Il n’y a pas d’Eve » aborde par le biais de l’imaginaire et de la mythologie, la question de l’image de la femme.
http://www.yasminabenari.com/
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Avec le soutien de 2015 année des femmes du monde à Roubaix et Cléa Roubaix/Tourcoing/Wattrelos